Quand les décisions importantes se prenaient au moyen d'une comptine.
Quand on pouvait arrêter le déroulement des choses en disant: "Pouce!"
Quand les erreurs s'arrangeaient en disant: "On recommence".
Quand avoir beaucoup d'argent signifiait acheter un carambar ou un roudoudou ou un rouleau de réglisse ou un morceau de sucre candi ou un caramel mou.
Quand on se rendait compte de nos possibilités cachées après que l'on nous ait dit: "Chiche que t'es cap !"
Quand on préférait être voleur que gendarme à la récréation.
Quand on faisait éclater des ballons de baudruche remplis d'eau comme si c'était la guerre.
Quand la seule interdiction était de ne pas jouer avec le feu.
Quand le pain avec du beurre ou du chocolat constituait le goûter.
Quand enlever les petites roues de la bicyclette signifiait un grand pas dans notre vie.
Quand on jouait aux patins à roulettes ou au badminton dans la rue sans craindre les voitures...
Quand on allait à la pêche aux "claque-seau" (têtards) ou que l'on glissait sur la mare gelée.
Quand on se réchauffait les pieds avec des briques chaudes enveloppées dans du papier journal.
Quand on tentait de fumer des lianes comme des cigarettes, et plus tard des P4 pour imiter les grands.
Si certains se souviennent de ces moments... c'est que l'enfance est encore là... et c'est tant mieux.
quand on avait une orange au pied du sapin !
RépondreSupprimerha un film que j'ai beaucoup aimé, quelle poésie
RépondreSupprimerbisous
Toi aussi Philippe... Je l'ai vu et revu plein de fois... avec toujours autant d'émotion.
RépondreSupprimerBisous.